dimanche 28 mars 2010

Je cours!

Les billets d'avion sont imprimés, j'ai quelques petites robes soleil d'achetées, ne reste que la protection solaire, quelques babioles à me procurer et à faire ma valise.  En dehors de mon insécurité financière qui se pointe le bout du nez à chaque fois que je dépense un aussi gros montant, j'en suis bien contente...

En même temps, je ne le réalise pas vraiment.  Avec un achat de dernière minute comme ça, on n'a pas vraiment le temps d'y penser, de l'imaginer ou de l'attendre impatiemment.  D'autant plus qu'il y a quelques semaines je n'avais pas envie de voyager, je ne voulais que le bien-être et le confort de mon chez-moi.  Mais proche ou loin de la maison, vivement les vacances...

Avec tous les évènements des derniers jours et la fatigue accumulée (pour ne pas parler de la SEP qui s'en mêle un peu), je n'ai pas le moral fort.  Un rien m'affecte, un rien m'affaiblie, un rien et je broie du noir.  Je le sais, je le sens et je le ressens.  En ayant conscience de tout ça, je me suis convaincue que le meilleur pour moi serait de m'éloigner de mes sources de tracas...  À 4 hr d'avion de la maison, y'a pas grand tracas qui tiennent!  So, il ne me reste qu'à prévoir mon départ...  Je travaille pratiquement tous les jours jusqu'au jour J...  Y'a seulement mercredi où j'irai me faire faire une beauté chez la coiffeuse...  Yé!

Point de vue entraînement, je me rends compte que de prendre un congé de poids ça fait du bien physiquement.  Je ne me doutais pas que j'avais atteint ce niveau de fatigue musculaire!  J'ai troqué mes souliers de gym par des souliers de course; ça fait changement et ça donne la chance au corps et au moral de se reposer d'une certaine pression.  En prime, ça tient et même ça améliore la forme!

Alors de toutes les façons possibles, je cours!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'aime bien te lire toi et tes amies. je te comprends très bien concernant la fatigue ... moi aussi je m'entraine intensément et
je pars au Mexique Samedi .. alors
tout comme toi je cours ! Vive les
vacances. Michel